J'ai ri quand... la femme du pompiste qui venait travailler rue de la Pompe, s'est occupée de cirer les pompes des clients un peu trop pompeux.
Certains venaient dans le 16ème pour y faire le plein des sens ! Même s'ils manquaient de décence, elle était toujours « super » avec eux…
J'ai pleuré quand elle a reçu cent plombs qui lui ont fait faire du mauvais sang… après avoir été braquée par un fusil à pompe. Triste de finir sa vie complètement pompée !
(Extrait de Métiers à sourire...)
Mais aujourd’hui le plaisir des sens est devenu le plaisir d’essence…
Car dans ce monde de brut et donc de moins en moins raffiné, nous passons Leclerc de notre temps à faire l’Esso sur les routes, pour au Total quel Mobil ? Même pas une belle pompiste !
On se plaint d’être à sec, tandis que le moteur économique, en ce temps peu ordinaire, est au bord de l’explosion, pour un avenir qui semble si terne… s’il n’y a que le prix à la pompe qui compte.
Il conviendrait de rester sur sa réserve, ne pas « Baupiner »(1) voire jauger de l’indécence de ces bouchons qu’on pousse un peu trop loin… D’ailleurs il y a des coups de pompes ou des coûts de pompes au cul qui se perdent !
La vérité de tout cela sortira-t-elle du puits de pétrole ? Que l’on paie trop… Qu’en pensent nos huiles essentielles ? Peut-on choisir entre L’éthanol et l’état nul ? Voilà qui est super inquiétant !
C'est en dégainant le pistolet de la pompe qu'on prend un fameux coup de fusil. Je vous laisse réfléchir sur cet axe là ou sur ces taxes-là. Et depuis la disparition des pétroleuses et autres pompeuses de grands chemins, gardez-vous des libertins !
(Extrait 24 mai de facebook Philippe Couteau Dit Bilout...)
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(1) Pour rester dans l’écologie
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