La communauté "auvergnate" a célébré hier soir la victoire de son équipe provinciale de football. Cette victoire des "bougnats" sur leur adversaire du jour, en match de qualifications de la coupe a déclenché quelques scènes de liesse dans diverses villes françaises dont Marseille.
Le journal "La Province" rapporte quelques commentaires perçus ici et là : « Ce soir Marseille est Auvergnate ! », entendait-on dans la foule. « C'est un honneur, une fierté, l'Auvergne, c'est ma terre, mon pays »... lâchait un jeune. « L'Italie, la France, l'Allemagne, on s'en fiche !» « Ça fait depuis Vercingétorix qu'on attend ce moment, c'est que du bonheur", lâche Giscard, les larmes aux yeux. »
La nuit bascule sous un croissant de lune...
De joie, on arborait le drapeau auvergnat... Mais la ferveur qu'a entraînée la
performance des "bougnats" n'a été que de courte durée. En effet une minorité de pseudo-supporters a dérapé, avec des lancés de tessons de bouteilles, des scooters à pleine
vitesse à ras de la foule, une pluie de projectiles et des poubelles en travers de la route, à la vue des forces de l'ordre.
Certains ne criaient pas en Français mais en occitan ! Langue que Jules Ferry s'était acharné à faire disparaître pour unifier le pays et afin que
tous les Français puissent avoir les mêmes chances à l'école...
Comme aurait dit un ministre : « un auvergnat ça va, c'est quand il y en a beaucoup qu'il y a des problèmes... »
Pour certains ce sont des manifestations particulièrement frappantes, (puisque des vitrines de magasins et des abribus ont été saccagés dans le centre-ville) mais pour d'autres il s'agit de colonisation progressive... Il ne faut pas exagérer ils oublient que l'année dernière, c'étaient les ch'its... Avec bienvenue chez les ch'its !
Si la plupart des grands médias français ont relaté ces incidents par des brèves, ils ont pris soin de ne pas dénoncer le communautarisme des manifestants qui revendiquaient haut et fort « leur pays l'Auvergne », alors que dans leur grande majorité, ils sont Français et le rappellent... quand ça les arrange.
Le résultat aujourd'hui c'est que lorsque l'équipe auvergnate gagne un match, on casse tout, si l'équipe perd, on casse tout et ne parlons pas quand un jeune du quartier se tue en faisant des conneries... Ils ont alors des réactions volcaniques !
Je ne me souviens pas que des vagues d'immigrés et leurs descendants des périodes passées, aient procédé avec autant de violence pour "s'insérer" en injuriant le pays hôte ! (C'est vrai qu'à l'époque, pas d'alloc. familiales, d'alloc. Logement, RMI, CMU... pour les Russes, Polonais, Italiens, Espagnols...)
Espérons qu'il n'y aura pas autant de débordements le 14 novembre prochain (si les auvergnats se qualifient face à l'Égypte) ou plus tard en Afrique du Sud s'ils rencontrent... la France !
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mary wool (samedi, 17 octobre 2009 08:52)
Hé, hé, hé... si une belge avait été refoulée de la frontière française, je ne serais pas née... Si un espagnol n'avait pas traversé ses Pyrénées, mon frère ne se serait pas marié...
Si un auvergnat n'avait pas rencontré une lyonnaise de souche, ma fille n'aurait jamais existé...
Et c'est ainsi qu'Allah est grand.