Les impôts locaux motivent un train de vie ou les édiles déraillent… Alors moi je crie, gare ! Attention Messieurs les chefs de gares Régionaux, Communaux ou Départementaux… Tôt ou tard, on va vous piquer le képi, vous l’ôter du chef au prochain vote… Fini les ex-voto ! Fini les taxes d’habitation en hausse, 3 à 4 fois plus vite que l’inflation; les foncières augmentant de 37% en 5 ans et 6.4% en moyenne, comme cette année.
Dans impôts il y a à boire et à manger… Mais quand les avis d’impôts locaux sont dans les boîtes aux lettres… Le con-tribuable trinque ! Hein… Pots ? Il ne reste plus qu’à boire… Puisqu’on se fait manger la laine sur le dos ! Ou tondre comme des moutons...
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Tout l’art d’un élu réside dans la gestion du calendrier…
Quand les élections arrivent, les totaux se stabilisent… Les taux peuvent même baisser s’il s’agit d’une réélection ! Mais ensuite l’étau se resserre et les édiles se resservent après le scrutin. Les Français ayant, paraît-il, la mémoire courte… (Gestion à la Toto !)
Ainsi l’année suivant l’élection de 2005 la part régionale des impôts locaux, atteint 21%, mais n’arrive qu’à 0,7% en 2009, avant les régionales de 2010 !
En 2008, les taux des communes et départements n’augmentent que de 0,8%, (année des municipales et cantonales !) mais en 2009 progresse de 4% !
C’est la faute à la crise…
Les villes ayant subi la baisse drastique des ventes de logements en 2008, une chute des droits de mutation en résulte ! Comme si la santé d’une ville dépendait d’abord du volume et des niveaux des prix des transactions immobilières !
Mais c’est oublier que, pendant les 8 années de hausses des prix des logements, les grandes villes ont engrangé des millions d’€ en excédent. N’aurait-il pas été judicieux d’en garder une partie pour les années maigres, comme toute gestion en bon père de famille…
La gabegie de l’intercommunalité depuis 1999…
A la commune, au département et à la région sont venus s’ajouter les syndicats de communes, les communautés urbaines…
Ah les économies théoriques ! (Assainissement, ordures, transport, urbanisme…)
Comme si les achats de locaux, les engagements de personnels, de voitures de fonction, l’empilement de structures avec tous les frais induits de frais généraux, d’indemnités n’était pas pris en compte…
En 10 ans 210 000 personnes ont ainsi été engagées ! Pour faire des économies ?
Con-clusion perverse…
Augmenter les dépenses rapporte plus de voix que les hausses d’impôts n’en font perdre ! Car les dépenses profitent à tous, alors que les impôts ne sont payés plein pot, que par une grosse moitié de la population… Nous risquons donc d’en reparler l’année prochaine, si l’impôt pue l’air d’automne... puisque les impôts resteront toujours des impopulaires !
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gilbert (mardi, 20 octobre 2009 15:46)
bravo super ce site
o+o= (:-)
ils se paient notre tête ces "saigneurs"! aprés le sel et la gabelle!!! la csg(con çà se saigne) rds(roublard dument satisfait) nos élus reviennent à la " fée aux dalles litées" et s'en mettent plein les fouilles
(faudrait p'têtre les faire à l'assemblée!) Au fait qui fait les lois pour les dépités que nous sommes??? et pour les dép(enses) ut(sont forts en musique) tés(peuchère)exonérations d'impots, mutuelle gratos! sont forts ces t'y là; malgré tout "la dissolution de l'assemblée nationale dans de l'acide sulfurique ne peut être considéré que comme une solution de désespoir" pierre dac